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À “qui” je m’adresse ?

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Le futur patient, le futur analysant, porte des marques, des empreintes, des traces de blessures, des stigmates de traumas. Pathogènes ou pas ils sont là. Et ça pèse sur la vie actuelle, ça empêche même d’être. Parfois la route est perdue, parfois elle est déviée dès le départ de la vie. Pour le meilleur, pour le pire aussi. 

Une identité
inconsciente commune

Comment répondre à sa destinée ?

Chacun fait au mieux de son bout de vie avec les cartes que la famille, l’inconscient personnel, l’inconscient familial et l’inconscient transgénérationnel lui ont construit et transmis dans une identité inconsciente commune. 

Comment répondre à sa destinée*
quand chacun est pris dans son destin familial ?*.
D’où je viens ? Où suis-je dans tout ça ? Je pars en exil, en errance, parfois en vrai. En quête de ma vérité, à sa recherche. Et je fais retour pour aller voir à l’intérieur. Les deux faces, la réalité physique et la réalité psychique, de la vie “Une”. Sinon la conduite est bancale et relève souvent d’une attitude unilatérale. L’équilibre ne tient pas. La tension des opposés non plus.
L’analyse est un chantierConstruction, déconstruction, démolition, reconstruction. Cependant il n’est pas question de forcer une forteresse, une tour armée avec les “bons sentiments” et le “bon vouloir” du mental. Le système défensif est à manier avec précaution et délicatesse.
L’analyse est une route en travaux, une route en réparation. Une route en travaux, à condition qu’il y ait un tracé de route, une esquisse au moins. Je partage une autoroute là où le conscient collectif roule jusqu’à ce que je trouve une route, le chemin là où je sens mes pas devenir sûrs avec les chaussures adaptées à mon style de marche. L’analyse est une aventure. Un voyage où les carrefours sont nombreux, les paysages traversés aussi, la météorologie est instable et les rencontres à émotion variable ! Moins souffrir, moins pleurer, se soigner, aller de l’avant, avancer.

EspoirUn travail qui rend à l’individu, une conscience, ce qu’il est, devrait être ou aurait dû être. Nous sommes toujours en devenir.
* Thématique élaborée par Henri de Vathaire, psychanalyste.

Des symptômes parfois lourds à porter

Et puis pour certains les symptômes à porter sont lourds, gênent la marche, embourbent, même s’ils protègent un peu.
Le sac est bien chargé. Et tout dépend de ma résistance à ne les considérer que sous l’angle médico-physiologique et dans une relation de cause à effet. D’ autres voies s’imposent. Mais posons-nous la question “À qui ou à quoi sont-ils présents ?”
Ah si d’abord  je pouvais déposer ce sac trop lourd et... poursuivre ma route sans. Sans comprendre, sans saisir. Juste le décharger. Sans regarder.  Arrêter la souffrance, là. Oui c’est humain, mais l’évitement n’enlève rien. Ouvrons ce sac. Mais comment, après, s’en dégager sans trop de déchirure, sans trop de vide à la clé qui m’entrainerait dans un gouffre prématuré ?

Symptômes, émotions, images & choix…

Ces symptômes sont-ils miens ? Comment faire la différence entre mes symptômes, mes émotions, mes images, mes représentations, mes choix, et ceux, celles qui ne m’appartiennent pas. Oui, différencier ce qui nous appartient de ce qui est intriqué avec ce qui ne nous appartient pas de l’histoire familiale, transgénérationnelle, avec ce qu‘elle inclut de croyances, de cultures, de dogmes, de savoirs et de valeurs. Différencier et distinguer pour qu’advienne ma position subjective. Quand j’en suis locataire, qui en est le propriétaire ? Et comment les rendre, en partant, à leur propriétaire? Et peut-on les rendre et à quel prix? En profondeur font-ils, structure, ancrage corporel archaïque, voire identité ? Participent-ils d’une construction défensive archaïque, défense du soi ? Toutes ces questions amènent à des niveaux différents de travail sur soi.
L’analyse en défait quelques uns des symptômes, de surcroît, mais surtout tend à les désengrammer dans un relevé de sens-non-sens inscrits dans une histoire dont on ne sait pas où elle s’arrête ni où elle débute. Mais bon j’ai ma part à gérer dans l’“ici et maintenant” si je veux m’en dégager. 
S’ajoute parfois la part mystère que ma famille a si “gentiment” déposée dans mon berceau !.  Dans un placard, une cave, un grenier s’accumulent et s’entassent les bizarreries, les secrets des générations passées, “le fantôme”* qui traverse les planchers ou les murs, la culpabilité, le silence, les non-dits etc. Et pourquoi pas retrouver les trésors relationnels restés latents et en attente de révélation. L’énigme familiale à décoder, décrypter et nettoyer ; la mission d’une vie, pour certains.

Des histoires qui contaminent

Comment me suis-je arrangé avec tout ça ? Des histoires en souffrance qui m’ont contaminées, à com-prendre. Ouvrir la porte et voir-ne pas voir. Difficile confrontation, difficile de s’en différencier, de s’en séparer et s’en affranchir. Tout ne se vend pas au vide-grenier ! Puis se ré-inscrire dans la filiation, tout en continuant son chemin individuel. 
Et assumer ces histoires en cascade.D’intégration en intégration, nous sommes un maillon d’une histoire généalogique inscrite dans l’Histoire de l’Humanité. 
Et puis il y a ces émotions, ces affects ou leur absence, ces sensations, autonomes, entravées dans des territoires extrêmes . C’est “quoi” derrière ?  Les patients qui n’ont peur de rien, ceux qui ne voient encore rien noyés dans leur désespoir, ceux qui ont peur de tout mais sont portés par un sacré, un sentiment de sacré, ceux qui aimeraient vivre plutôt que survivre, ceux qui ont perdu le rire ou le sourire, ceux qui rêvent d’aimer d’amour vrai, ceux qui pourraient convenir sans trop de culpabilité que l‘on peut détester aussi. 
Oui le patient, l’analysant n’a pas envie de s’arrêter là. Il aimerait en savoir un peu plus de ne plus savoir vivre avec lui-même. Est-il ou se sent-il différent? Est-il ou se sent-il particulier? Est-il ou se sent-il singulier ? Est-il ou se sent-il fou ? William Blake disait « Si le fou persévérait dans sa folie, il rencontrerait la sagesse »* ; tout dépend de la définition de la folie. Mais n’est-ce pas déjà ‘une folie’ que d’être, et être soi-même quand la conscience collective n’en demande pas tant !Mal vivre avec sa tête, avec son corps, avec les autres, avec le monde. Comment gérer ce rapport au  monde intime, monde familial, monde social et monde professionnel ? 

Le champ des pourquoi

Commence le champ des “Pourquoi ?”  Autant de pourquoi que de brins d’herbe ! Pourquoi ces émotions qui me submergent ?  Pourquoi rencontrer toujours les mêmes profils de  personnes ou de situations “mauvaises” pour moi? Pourquoi les personnes “bonnes” m’échappent-elles ? Pourquoi la vie ne me sourit-elle pas ?  Pourquoi ce sentiment d’infériorité sociale, de honte sociale ?Pourquoi persiste t-il ? Pourquoi remettre de l’ouvrage sur ce qui est toxique ? Pourquoi cette angoisse ?  L’angoisse, l’absence d’angoisse...là ça se corse, le moi angoisse !
Pour-quoi aller y voir ? il y a au moins ça qui fait de l’existant voire une existence ! La zone de confort. Un abri. Une protection, une auto-protection. Je connais ce mécanisme, j’y suis familier, j’en connais les rouages, les acteurs, actrices connu-e-s ou anonymes qui l’actionnent. Mais que fait-il là ? Avec la jouissance (au sens de Lacan) tenace, en place de son plaisir et de son éros de vie.Pour les patients, analysants traumatisés une haute protection archétypique est orchestrée par l’ombre du Soi du Personal Spirit tel que le développe Donald E.Kalsched***.
Et pourtant le patient, l’analysant insiste, persiste, s’interroge sans fin, se déplace vers ce lieu, ce cabinet où la question se tient face à l’inconnaissable en lui. Oui d’aller visiter chaque pièce de sa maison, d’y considérer et consigner les dégâts, les réparations, en acceptant le retour du refoulé de ses sacs d’immondices, en y découvrant aussi des petites perles de vie cachées. L’analyse est une voie exigeante et courageuse.
* Thématique développée par Nicolas Abraham et Maria Torok dans ”L’écorce et le noyau”, Flammarion, ré-édition 2009
Plus récemment : Bruno Clavier " Les fantômes familiaux", Payot, 2014..
** William Blake, Exposition Londres la Tate Britain  septembre 2019 - février 2020. "Le Mariage du Ciel et de l'Enfer" Traduction André Gide. Coll. Romantique n°2, 1981.
‘*** Donald E. Kalsched, “The Inner World of trauma : archétypal defences of the personal Spirit”, Routledge, 1996. Et “Trauma and the Soul”, Routledge, 2013.

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À propos

J’ai décidé. Je viens. Que ça dure une séance, quelques séances ou quelques années, je suis là, je veux le meilleur pour moi. Je me projette dans le futur de mon potentiel bien que je me sente tiré, attiré par un passé qui me rend prisonnier de mon présent, un présent qui me retient de mon futur.

Je différencie l’approche et le contenu. Une approche de travail analytique coordonnée et adaptée à la problématique du patient, de l’analysant. La distinction se situe entre le travail de l’individualisation et celui du processus d’individuation proprement dit, cependant appartenant tous deux à la dynamique naturelle de l’individuation.
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